martes, 17 de junio de 2025
Gran éxito de la proyección y cinefórum del documental 'Vidas irrenovables: naturaleza o miseria' en Tremp (y últimas noticias: 3 de cal y 3 de arena)


lunes, 9 de junio de 2025
Cinefórum con el documental 'Vidas irrenovables': Ateneu del Pallars, Tremp (Rambla Dr. Pearson, 7), viernes 13 de junio, 18 horas
- Como es norma, empezamos por revisar la cuenta de la asociación Ribagorza-Pallars Siglo XIX, que nos da entidad jurídica, constatando que el Ayuntamiento de Tolva ha ingresado ya su cuota anual, sin más ingresos ni cambio alguno.
- Se informó en detalle del escrito que, con la colaboración de nuestras abogadas, remitimos al Ministerio para la Transición Ecológica y el Reto Demográfico, en el que le solicitamos que nos informe sin ambigüedades del estado del proyecto de Autopista Eléctrica Valsalada-Laluenga-Isona, tras haber conocido el auto del Tribunal Superior de Justicia de Madrid, que, en un sentido contrario de lo que le había dicho el Gobierno a la senadora de ERC Sara Bailac, consideraba que no existía pérdida de objeto de litigio, y que, por tanto, el contencioso administrativo que interpusimos contra este proyecto sigue adelante. Al respecto, no tenemos aún respuesta, pero los compañeros y compañeras de la Plataforma a favor de los Paisajes de Teruel nos advirtieron de que ellos también habían intentado algo semejante sin resultado alguno (por más que la ley obligue al ministerio a responder a estos escritos). Por ello también se planteó un posible encuentro a corto o medio plazo con la citada senadora Sara Bailac para ponerle al tanto de la situación con todo detalle.
- Respecto al comunicado sobre el apagón y las interconexiones eléctricas, que elaboramos conjuntamente con Interkonexio Elektrikorik Ez!!!, se informó (podéis verlo en el anterior post) de que publicaríamos de inmediato, para una mayor difusión internacional, su versión en francés, y confiamos en que en breve también lo haremos en inglés.
- Como ya informamos previamente, nuestra plataforma se adhirió a la Campaña de MACROrenovablesNO ¡IPSO FACTO! Paralización macroproyectos renovables, dentro de la cual, el pasado 4 de junio, una representación de las asociaciones adheridas, junto con asociaciones de otros países europeos, se presentaron en Bruselas (se puede seguir el desarrollo de la citada campaña en https://macrorenovablesno.org/2025/05/30/eu-charade/).
- Se informó también del resurgimiento del movimiento Por la dignidad de la montaña y de las asambleas que se van a llevar a cabo el 21 de junio en el espacio Pirineos de Graus a las 11 horas y el 22 de junio en Sabiñánigo, en A Melonera, igualmente a las 11 horas). Obviamente, apoyamos plenamente este movimiento y uno de nuestros compañeros al menos estará presente en la reunión de Graus. Podéis ampliar la información en https://cadenaser.com/aragon/2025/06/06/el-movimiento-por-la-dignidad-de-la-montana-llama-a-la-organizacion-con-dos-asambleas-en-graus-y-sabinanigo-radio-jaca-ser-pirineos/ y https://arainfo.org/ganar-el-pirineo-entero/.

- Por último, acordamos que nuestra próxima asamblea se llevaría a cabo presencialmente en Puente de Montañana el viernes 4 julio a las 18 horas.
*Debido a la extensión y formato del post, lo publicamos únicamente en castellano. Rogamos disculpas a nuestros compañeros y compañeras de La Franja y el Pallars Jussà.


Le black-out en Espagne et le mirage des interconnexions : éteindre le feu avec de l'essence
Avec la panne électrique historique qui a frappé l’Espagne le 28 avril, dont les causes restent encore à identifier et à expliquer, les dérives médiatiques et économiques prospèrent, proposant des solutions mirages, comme l'augmentation des interconnexions électriques avec la France.
Les lobbies de l'électricité répètent souvent (comme si cela rendait la chose vraie) qu'il existe un manque de capacité d'interconnexion électrique entre l’Espagne et la France, qui ne serait que de 3 %. Or, ce ratio a été calculé à tort et délibérément sur la base de la capacité installée (ce qui, techniquement, n'a guère de sens). De plus, celle-ci a considérablement augmenté ces dernières années (en raison de l'avalanche de méga-centrales éoliennes et solaires) pour atteindre 132 GW, abaissant ainsi artificiellement le taux d'interconnexion. En réalité, la capacité d'interconnexion devrait être calculée en fonction de la demande de pointe (qui pourrait nécessiter un soutien éventuel de la part des interconnexions), soit 38 GW (27 GW juste avant la panne). En réalité, les dix lignes d'interconnexion existantes avec la France ont une capacité réelle de 3,8 GW[1], soit plus de 10 % de la demande (7 points de plus que ce qu’affirment les lobbies), ont donc pu jouer un rôle crucial dans le rétablissement du système ibérique le 28 avril. En fait, la capacité d'interconnexion de la France avec l'Espagne dépasse celle de la France avec l'Italie et la Suisse[2]. Et tout cela sans oublier que, de toute façon, dès que la panne s'est produite, la France s'est automatiquement déconnectée du système ibérique, empêchant ainsi sa propagation à toute l'Europe (un aspect que ces lobbies semblent vouloir ignorer).
Par conséquent, la construction de nouvelles interconnexions n'est pas justifiée techniquement. Ils semblent également ignorer délibérément que le projet de ligne d'interconnexion Cubnezais (Gironde)-Gatika (Biscaye) traversant le golfe de Gascogne (actuellement en construction jusqu'en 2028 au moins, malgré une forte opposition citoyenne des deux côtés de la frontière) ajouterait 2 GW de capacité, qui s'ajouteraient à une ligne similaire en Catalogne (Figueras-Perpignan), ce qui porterait le taux d'interconnexion réel à plus de 15 %, un niveau plus que suffisant et conforme à l'objectif européen pour 2030. Il ne faut pas oublier non plus que son coût, de plus de 3,1 milliards d'euros (déjà près du double des 1,7 milliard d'euros initialement prévus) est financé par les consommateurs espagnols et français et les contribuables européens. En d'autres termes, plus précisément : ils financent une activité lucrative de l'oligopole espagnol de l'électricité, qui importe de l'énergie nucléaire bon marché de France pour la revendre au prix fort aux consommateurs, tout en exportant l'excédent d'énergie renouvelable à coût nul ! En bref, plutôt que de servir de filet de sécurité nécessaire, comme le prétend Red Eléctrica de España (REE), les interconnexions servent les seuls intérêts de l’oligopole dans sa course effrénée aux méga-profits.
N'oublions pas que la Commission de régulation de l'énergie (CRE), le régulateur français, a déclaré en 2024 que les deux projets de lignes d'interconnexion prévues à travers les Pyrénées (Navarre-Landes et Aragon-Béarn, d'une capacité totale de 4 GW pour un coût estimé – jamais respecté – à près de 5 milliards d'euros [3], le double par rapport à 2022) manquent de « bénéfices socio-économiques, encore incertains, en raison de l'incertitude sur l'acceptabilité locale et les niveaux de renforcement nécessaires ». De plus, elles créeraient des impacts très graves pour la biodiversité et les habitants des deux côtés des Pyrénées (un territoire particulièrement sensible) sans améliorer significativement la sécurité du réseau électrique.
En réalité, la sécurité électrique nécessaire à l'électrification des usages énergétiques, à la réindustrialisation et à la numérisation de l'économie, dans le cadre de l'objectif de décarbonation d'ici 2050, devrait réellement se concentrer sur une plus grande harmonisation et coordination européenne, comme l'a souligné le cabinet de conseils Aurora Energy Research : « ... une Europe interconnectée nécessite plus que des infrastructures physiques. Elle a besoin de protocoles communs, d'une coordination technique supranationale et d'une adaptation accélérée des systèmes électriques à un nouveau paradigme énergétique[4]. »
Ce effondrement inédit du réseau de transport d'électricité, géré par une REE privatisée, remet également en question son modèle hypercentralisé de déploiement des énergies renouvelables avec des méga-centrales (appartenant à des multinationales et des investisseurs financiers) sans planification adéquate et sacrifiant de vastes espaces naturels et des terres agricoles (dont des oliviers centenaires), expropriés en profitant, au nom d'un prétendu intérêt public, d'une loi franquiste de 1954, au profit d'intérêts purement privés. Ainsi, contrairement à une transition énergétique prétendument éco-sociale, on constate comment l'Espagne, vidée de ses habitants, se vide encore davantage (!) pour exporter de l'électricité vers des centres urbains lointains, alors que des espaces déjà artificialisés ou industrialisés et des toits inoccupés pourraient être utilisés pour l'autoconsommation (avec des batteries le cas échéant). De plus, il faut garder à l'esprit que les communautés énergétiques locales permettent aux consommateurs professionnels et particuliers de s'impliquer dans les économies d'énergie, la décarbonation et l'adaptation à l’implacable changement climatique (ouvrant la voie nécessaire à une véritable et essentielle transition éco-sociale). Celles-ci génèrent un réseau plus décentralisé, avec de multiples sources de production renouvelables et des systèmes de stabilisation adéquats, c'est-à-dire beaucoup plus robuste qu'un vaste et lâche réseau de transport basé sur des lignes à très haute tension qui peuvent rapidement propager des problèmes sur l'ensemble de son réseau (comme constaté le 28 avril).
L’avertissement de cette panne électrique devrait être une occasion claire pour le Ministère de la Transition Écologique et du Défi Démographique (qui est censé défendre l’intérêt général à long terme) de rétablir ces fondements de la transition énergétique pour garantir véritablement la sécurité du réseau et les intérêts des consommateurs, et pas seulement ceux de l’oligopole, de REE et des investisseurs financiers, les seuls qui bénéficieraient d’une augmentation des interconnexions pour spéculer et accroître encore leurs profits disproportionnés.
Interkonexio Elektrikorik Ez!!! (NON à l’interconnexion électrique!!!) et
Plateforme unitaire contre l'autoroute électrique
[1] https://www.sistemaelectrico-ree.es/informe-del-sistema-electrico/intercambios/capacidad-intercambio
[2] https://www.elespanol.com/invertia/empresas/energia/20240604/francia-cierra-grifo-interconexiones-electricas-espana-planes-vinculantes-ue/860164442_0.html
[3] https://www.eleconomista.es/energia/noticias/13383585/05/25/europa-eleva-a-8091-millones-el-coste-de-las-nuevas-interconexiones-de-espana-con-francia.html
[4] La panne d'électricité montre qu'une Europe interconnectée a plus besoin de protocoles communs que de câbles (6 mai 2025) https://elperiodicodelaenergia.com/el-apagon-muestra-que-una-europa-interconectada-necesita-mas-que-cables-protocolos-comunes/
miércoles, 4 de junio de 2025
Asamblea NO PRESENCIAL de la Plataforma Unitaria contra la Autopista Eléctrica: viernes 6 de junio, 18 horas
D'altra banda, us avancem també, que des de l'anterior assemblea, la nostra plataforma es va adherir a la Campanya de MACROrenovablesNO ¡IPSO FACTO! Paralización macroproyectos renovables. En relació, amb aquesta, precisament avui, 4 de juny, una representació de les associacions que s'han adherit a la campanya, juntament amb associacions d'altres països europeus, que també estan veient perillar els seus territoris, s'han presentat a Brussel·les. Es pot seguir el desenvolupament de la citada campanya en https://macrorenovablesno.org/2025/05/30/eu-charade/.


jueves, 29 de mayo de 2025
El apagón y el espejismo de las interconexiones: apagando el fuego con gasolina
Indignados ante la intensa campaña de los medios de prensa que representan los intereses de las élites aragonesas, aprovechándose cínica y torticeramente del apagón del pasado 28 de abril para crear un estado de opinión favorable a las interconexiones eléctricas transpirenaicas con Francia, nuestra plataforma, junto a la plataforma hermana Interkonexio Elektrikorik Ez!!! de Gatika (con la que en el pasado creamos la Red de Apoyo Mutuo en respuesta a los Megaproyectos Energéticos) hemos elaborado el siguiente comunicado:
El apagón y el espejismo de las interconexiones: apagando el fuego con gasolina
Con el histórico apagón eléctrico del 28 de abril, del que todavía no se han identificado ni explicado sus causas, han regresado las derivas mediáticas y de intereses económicos ofreciendo soluciones que son espejismos, como aumentar las interconexiones eléctricas con Francia.
Los lobbies eléctricos repiten a menudo (como si repitiéndolo lo convirtiesen en verdad) que faltaría capacidad de interconexión eléctrica con Francia, que sería solo del 3 %. Pero esta cifra se ha calculado errónea y deliberadamente sobre la potencia instalada (lo que técnicamente tiene poco sentido). Además, esta ha aumentado considerablemente en estos últimos años (por la avalancha de mega centrales eólicas y solares) hasta los 132 GW, bajando así artificialmente la tasa de interconexión. De hecho, habría que calcular la capacidad de interconexión a partir de la demanda punta (la que podría necesitar un eventual apoyo de interconexiones), que es de 38 GW (27 GW justo antes del apagón). En realidad, las diez líneas de interconexión ya existentes con Francia tienen una capacidad real de 3,8 GW (REE[1]), o una tasa del 10 % de la demanda (7 puntos más de lo que dicen), con lo que pudieron jugar un papel crucial en restablecer el sistema ibérico el 28 de abril. De hecho, la capacidad de interconexión de Francia con España supera los niveles de la de Francia con Italia y Suiza[2]. Y todo ello sin olvidar que, en cualquier caso, nada más producirse el apagón, Francia se desconectó automáticamente del sistema ibérico, con lo que se evitó que este se extendiese por Europa (aspecto que parecen querer obviar).
Por tanto, construir más interconexiones no se justifica técnicamente. También parecen ignorar deliberadamente que el proyecto de línea de interconexión Burdeos-Gatika (Bizkaia) a través del Golfo de Bizkaia (actualmente en construcción, hasta por lo menos 2028, a pesar de la fuerte oposición ciudadana en ambos lados de la frontera) sumaría 2 GW de capacidad, que se añadiría a otra línea similar en Catalunya (Figueras-Perpignan), lo que aumentará la tasa real de interconexión por encima del 15 %, un nivel más que suficiente y conforme al objetivo europeo para el 2030. No hay que olvidar, además, que su coste, de más de 3.100 millones de euros (ya casi el doble de los 1.700 millones de euros previstos inicialmente), será financiado por los consumidores y los contribuyentes. O sea, con mayor exactitud: están financiando un lucrativo negocio del oligopolio eléctrico, que importa nuclear barata desde Francia para venderla cara a los consumidores, al tiempo que exporta excedentes de renovable ¡a coste 0! En definitiva, más que como necesario hilo de seguridad, como defiende REE, las interconexiones interesan al oligopolio para lucrarse aún más.
No olvidemos tampoco que el regulador energético francés declaró en 2024 que los dos proyectos de líneas de interconexión por el Pirineo (Navarra-Landas y Aragón-Béarn, con una capacidad total de 4 GW y un coste estimado —nunca cumplido— de casi 5.000 millones de euros[3], duplicado desde 2022) carecen de "beneficios socioeconómicos, aún inciertos, debido a la incertidumbre sobre la aceptabilidad local y a los niveles de refuerzo necesario". Además, crearían impactos muy severos para la biodiversidad y los residentes de ambos lados del Pirineo (un territorio especialmente sensible) sin mejorar significativamente la seguridad de la red eléctrica.
De hecho, la necesaria seguridad eléctrica para la electrificación de los usos energéticos, la reindustrialización y la digitalización de la economía, dentro del objetivo de descarbonización a 2050, debería centrarse realmente en una mayor armonización y coordinación europeas, como ha subrayado la consultoría Aurora Energy Research: "... una Europa interconectada requiere más que infraestructura física. Necesita protocolos comunes, coordinación técnica supranacional y una adaptación acelerada de los sistemas eléctricos a un nuevo paradigma energético"[4].
Lo que también cuestiona el fallo de la red de transporte eléctrico, gestionada por la privatizada REE, es su modelo híper centralizado de despegue de las renovables, con mega centrales (de multinacionales e inversores financieros) sin una adecuada planificación y que sacrifican extensos espacios naturales y tierras de cultivo (incluidos olivos centenarios), expropiadas aprovechándose, en nombre de una supuesta utilidad pública, de una ley franquista de 1954, en beneficio de intereses puramente privados. Vemos así, en contra de una transición energética supuestamente ecosocial, cómo la España vaciada se vacía aún más (!) para exportar electricidad a lejanos centros urbanos cuando podrían utilizarse espacios ya artificializados o industrializados y tejados vacíos para generación en autoconsumo (con baterías cuando resulte pertinente). Además, hay que tener presente que las comunidades energéticas locales permiten involucrar a los consumidores, profesionales y particulares en el ahorro energético, la descarbonización y la adaptación al implacable cambio climático (ese es el camino necesario para una auténtica e imprescindible transición ecosocial). Estas generan una red más descentralizada, con múltiples fuentes de generación renovable y con adecuados sistemas de estabilización, es decir, mucho más robusta que una extensa y laxa red de transporte basada en líneas de muy alta tensión que puede extender rápidamente los problemas a través de todo su entramado (como comprobamos el 28 de abril).
El toque de atención del apagón debería ser una clara oportunidad para el Ministerio para la Transición Ecológica y el Reto Demográfico (que supuestamente defiende el interés general a largo plazo) de restablecer estos fundamentos de la transición energética para garantizar realmente la seguridad de la red y los intereses de los consumidores, y no solo del oligopolio, de REE y de los inversores financieros, los únicos que se beneficiarían de un aumento de las interconexiones para comerciar y aumentar aún más sus desproporcionados beneficios.
[1] https://www.sistemaelectrico-ree.es/informe-del-sistema-electrico/intercambios/capacidad-intercambio
[2] https://www.elespanol.com/invertia/empresas/energia/20240604/francia-cierra-grifo-interconexiones-electricas-espana-planes-vinculantes-ue/860164442_0.html
[3] https://www.eleconomista.es/energia/noticias/13383585/05/25/europa-eleva-a-8091-millones-el-coste-de-las-nuevas-interconexiones-de-espana-con-francia.html
[4] El apagón muestra que una Europa interconectada necesita protocolos comunes más que cables (6 de mayo de 2025) https://elperiodicodelaenergia.com/el-apagon-muestra-que-una-europa-interconectada-necesita-mas-que-cables-protocolos-comunes/
jueves, 15 de mayo de 2025
Pese a la respuesta del Gobierno a la senadora de ERC Sara Bailac, el proyecto de Autopista Eléctrica Valsalada-Laluenga-Isona sigue adelante (al igual que nuestro contencioso administrativo)
- Respecto a los contratos que nos han dicho que Forestalia está enviando a los propietarios, aunque necesitaríamos conocer uno para poder analizar mejor la cuestión, nuestras abogadas nos informan de que la empresa está en su derecho de seguir avanzando mientras tenga las autorizaciones vigentes, con independencia de la situación del proyecto y de que haya un recurso contencioso administrativo ya interpuesto.
- Respecto a la situación del proyecto de autopista eléctrica, el Abogado del Estado opina que no hay pérdida sobrevenida de objeto y que el proceso debe continuar, y el Tribunal así lo ha acordado, ya que al no haber trasladado la administración aún el expediente, nuestras abogadas no tienen la posibilidad de presentar la demanda, y el Tribunal no tomará una decisión en ningún sentido antes de disponer de toda la información.
- Es imprescindible, por tanto, seguir adelante con el recurso y la única posible esperanza pasaría por conocer el expediente que la administración sigue sin enviar, una lamentable práctica dilatoria (que sabemos por compañeros de otras plataformas que es ya práctica común de la administración) que nos deja además totalmente indefensos.
- Nos informaron de un nuevo proyecto de línea que interconectará Peñalba (en Huesca) y Els Mangraners (en Lleida), en este caso a 220 kV (una LAT), (véase: https://www.diariodelaltoaragon.es/noticias/comarcas/2025/05/14/ree-tramita-una-nueva-linea-de-alta-tension-de-penalba-a-lerida-1823294-daa.html). Al respecto, consideramos necesario transmitir a nuestros compañeros y compañeras afectados que pueden contar con nuestro apoyo en su lucha pues estamos en la misma situación y conviene la máxima coordinación; pero, además, Peñalba ha sido el punto de partida de anteriores proyectos de autopista eléctrica a través de nuestro territorio, por lo cual vamos a estar también muy vigilantes.
- Igualmente, nos informaron de un nuevo proyecto de línea y subestación eléctrica en Isona (véase: https://www.pallarsdigital.cat/politica-municipis/21453-alerta-pel-projecte-duna-subestacio-transformadora-a-isona y https://www.pallarsdigital.cat/politica-municipis/21460-conca-de-dalt-i-isona-contra-la-subestacio-i-la-linia-electrica-parcs-solars), vinculado a los mega proyectos fotovoltaicos que amenazan al Pallars Jussà. Pero en este caso, gracias al gran trabajo ya realizado por Salvem Lo Pallars, disponemos ya de un modelo de alegaciones, y, al igual que están haciendo ya los ayuntamientos afectados, os rogamos que lo firméis y presentéis masivamente (podéis acceder a él en el enlace: https://docs.google.com/document/d/1OJ_jLFIobhiVtODwQjhyb0awGGnMGrTe/edit?pli=1&tab=t.0). Por supuesto, estas alegaciones responden a la imprescindible (si se quiere seguir con la vía judicial) parte administrativa de nuestra lucha, pero, como siempre hemos defendido, esta debe venir acompañada con la lucha y la presencia del conflicto en la calle. Para ello nos comunicaron que en breve se iban a reunir para planificar acciones informativas y de protesta, adelantándonos ya su intención de organizar en junio una proyección en el Pallars del magnífico documental Vidas irrenovables (que ya pudimos ver en Graus) para el mes de junio.
- Nuestras compañeras del Àgora pallaresa nos transmitieron en particular su experiencia en el primer encuentro de Revoltes de la Terra, que se llevó a cabo el pasado 3 de mayo en Mont-roig del Camp (Tarragona) con un éxito notable (3.000 participantes, con el apoyo de CGT, Unió de Pagesos y Revolta Pagesa, que consideramos muy esperanzador pues el modelo de lucha de Les Soulevements de la Terre pasa necesariamente por la unión de las plataformas en defensa del territorio, el movimiento ecologista y los sindicatos campesinos). Según nos explicaron, del Pallars acudieron al encuentro una docena de compañeras, que constataron una magnífica organización. El objetivo era ensayar esta forma de lucha como un modelo o estrategia replicable e idóneo para el mundo rural (y visto lo visto va a ser ya la única posible forma de lucha si queremos defender nuestro territorio y lograr una verdadera, imprescindible y urgente transición ecosocial), y tender lazos de colaboración entre organizaciones y personas. Para no alargarnos más en detalles, os remitimos a la crónica de El Salto, que da cuenta detallada de lo allí vivido: https://www.elsaltodiario.com/cataluna/sublevaciones-tierra-francesas-llegan-catalunya-necesitamos-una-forma-nueva-luchar.


miércoles, 7 de mayo de 2025
Próxima asamblea de la Plataforma Unitaria contra la Autopista Eléctrica al calor del gran apagón: Puente de Montañana, viernes 9 de mayo, 18 horas
*Debido a la extensión del post, lo publicamos únicamente en castellano. Rogamos disculpas a nuestros compañeros y compañeras de La Franja y el Pallars Jussà.


miércoles, 9 de abril de 2025
Comunicado de la Plataforma Unitaria contra la Autopista Eléctrica acerca del estado del proyecto de Autopista Eléctrica o MAT Valsalada-Laluenga-Isona
Hemos tenido conocimiento oficial de la situación en que se encuentra el proyecto de autopista eléctrica o MAT Valsalada-Laluenga-Isona a raíz de una pregunta escrita al Gobierno por la senadora de ERC por Lleida Sara Bailac. En la respuesta escrita se informa de que, puesto que la Generalitat ha emitido informe desfavorable al proyecto y la autorización estaba condicionada a este informe:
- las modificaciones al proyecto presentadas por Forestalia no han obtenido la Autorización Administrativa Previa;
- no ha obtenido la Autorización de Construcción;
- Red Eléctrica de España (REE) ha comunicado por escrito al MITECO que la autopista eléctrica o MAT tiene los permisos de conexión y acceso a la red caducados, y la autopista eléctrica Valsalada-Laluenga-Isona está pendiente de archivo.
En la plataforma nos congratulamos con esta respuesta porque, desde que salió el proyecto en 2021, hemos trabajado en tres líneas: informando sobre el proyecto y sus consecuencias; coordinando y promoviendo acciones que dieran visibilidad al rechazo del mismo, y dando los pasos legales necesarios para manifestar nuestra oposición, basándonos en las irregularidades y flagrantes vulneraciones de la legislación vigente que contenía así como de las severas afecciones a nuestro territorio, a las personas que lo habitan y a la biodiversidad en su conjunto.
El proyecto tuvo desde su publicación un rechazo social al que fueron sensibles diversos ayuntamientos del territorio, que manifestaron su oposición con alegaciones, recursos de alzada, promoviendo acciones o colaborando con las propuestas de nuestra plataforma. El rechazo y la contestación social se demostraron desde el principio con el gran número de alegaciones individuales presentadas, y se han seguido demostrando en la colaboración y participación de numerosas personas en todas las acciones de rechazo al proyecto y de visibilidad de nuestra lucha (marchas lentas, butifarradas, concentraciones, bicicletada, VERMAT, conciertos, charlas…). En la plataforma hemos sentido el respaldo y el apoyo social y vecinal a las acciones que hemos organizado, apoyo que también ha sido económico, lo que nos ha permitido disponer de fondos para interponer un recurso contencioso administrativo.
En este sentido, nuestra plataforma promovió la creación de la Asociación Ribagorza-Pallars siglo XIX para disponer de entidad jurídica y poder afrontar así acciones legales. Invitamos a formar parte de la misma a las entidades sociales y los ayuntamientos afectados puesto que consideramos que la unión es la forma de afrontar procesos para los que individualmente no tendríamos capacidad. En la actualidad, son miembros de la citada asociación los ayuntamientos de Capella, Azanuy-Alins, Peralta de Calasanz, Benabarre y Tolva, así como las asociaciones de Vecinos, amigos y residentes de Torres del Obispo, de Vecinos de Pueyo de Marguillén y El Galet de Tolva. Para nuestra plataforma ha supuesto un respaldo fundamental, y confiamos en que se adhieran más ayuntamientos afectados y otras entidades sociales de nuestros territorios.
A la luz de lo expuesto, nuestra plataforma desea hacer varias consideraciones, tratadas en nuestra asamblea del pasado viernes 4 de abril:
- A Forestalia le están desestimando diversos proyectos de MAT, pero en declaraciones a la prensa ha dicho que recurrirán. Una muestra de lo que son capaces: Forestalia ha demandado al ayuntamiento de Ejea de los Caballeros (Zaragoza) por las modificaciones del PGOU que evitan macroproyectos de renovables, una demanda que se acompaña de la reclamación de 500 millones de euros por lucro cesante al no poder construirlos. Asegura, además, que buscará alternativas: tienen dinero, abogados y poder, y no creemos que se conformen.
- LA MAT está pendiente de archivo, no está archivada. Al estar ya interpuesto nuestro contencioso, nuestras abogadas han solicitado al juez que pregunte a la administración para que acredite la situación en que se encuentra el proyecto, actuación que contempla la ley y que se denomina pérdida sobrevenida del objeto del pleito. Es una forma de forzar a la administración a dar una respuesta, ya que, pese a tratarse de un proyecto que afecta gravemente al territorio y, por ende, a las condiciones de vida de las personas que en él habitamos, lamentablemente, no está obligada a hacerlo a través del BOE.
Llevamos trabajando mucho tiempo contra este proyecto y tenemos suficiente experiencia y motivos para desconfiar; por eso es esencial tener una respuesta clara y definitiva. Las noticias en prensa son solo eso, noticias, y hemos visto con sorpresa cómo algunos ayuntamientos o grupos políticos se apresuran a anunciar que la MAT ya no será una amenaza, presentando, además, esto como una victoria propia. Todos deseamos que esto se acabe; pero debemos hacer lo que esté en nuestras manos para tener la seguridad de que el proyecto de autopista eléctrica se archiva definitivamente. Así pues, nos alegramos de la noticia, pero acabemos la tarea y celebremos cuando realmente podamos celebrar.
*Debido a la urgencia y formato del post, lo publicamos únicamente en castellano. Rogamos disculpas a nuestros compañeros y compañeras de La Franja y el Pallars Jussà.

